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Après la déclaration du porte-parole des putschistes, Kader Ouédraogo, le 24 janvier 2022, des partis politiques comme les Progressistes unis pour le renouveau (PUR), le Parti pour la démocratie et le socialisme (PDS), le Parti pour la renaissance nationale (PAREN), le parti de l’alliance panafricaine pour la refondation (APR-TILIGRE) et le mouvement SENS ont dans une note condamnés le coup d’Etat perpétré par les militaires sous la houlette du Lieutenant-colonel Paul Henri Sandaogo Damiba.

Par Rama Diallo  

Depuis le 23 janvier 2022, la situation du pays reste tendue. La vie démocratique du Burkina Faso connaît un trouble grave en raison de l’irruption de l’armée dans la conduite des affaires politiques, ont introduit le groupe signataire du communiqué.

Il exige le respect de l’intégrité physique et la dignité du président du Faso, du président de l’Assemblée nationale et des membres du gouvernement.

Ils ont rappelé que le coup d’état est un moyen anticonstitutionnel de prise du pouvoir. Et que le pays des hommes intègres a une expérience douloureuse des coups d’Etats. L’on a l’exemple du coup d’Etat du 15 octobre 1987, qui s’est terminé par un drame.

Le groupe reste convaincu que les putschs ne sont pas les solutions aux problèmes politiques.

Ils espèrent que ce coup d’Etat ne constitue pas une tentative de restauration du système Compaoré. Il appelle à la restauration rapide de l’ordre constitutionnel.

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