Idrissa Ouédraogo continuera à être parmi nous à travers ses œuvres qu’il faut redécouvrir, et surtout mener une réflexion critique sur leur contribution à la création cinématographique. Personnellement, les films d’Idrissa Ouédraogo font partie du corpus de films africains que j’enseigne régulièrement à mes étudiants américains depuis nombreuses années. Par ailleurs, dans mon nouveau livre, j’ai consacré une étude de cas à la cinématographie de Yaaba en relation avec l’espace et le rythme.
- Advertisement -
