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C’est un coup dur évidemment pour les populations de Djibo, chef-lieu de la province du Soum. En effet, la police a quitté la ville vendredi 13 septembre au lendemain d’une interpellation musclée d’un suspect armé. Cette opération qui a eu lieu la veille dans la soirée a fait un mort. La police a tué le suspect qui aurait riposté.
Cependant, les policiers ont quitté la ville selon une source sécuritaire à Libreinfo.net. Mais difficile de savoir les raisons exactes.
Une première raison est que les militaires ne tiennent plus les positions avancées et les policiers estiment ne pas être à mesure de sécuriser la ville de Djibo. Il faut noter que le détachement militaire de Nassoumbou situé à 35 km de Djibo a essuyé une attaque terroriste il y’a seulement quelques jours.
Plusieurs détachements militaires dans la région du sahel ont été attaqués ces derniers mois par les terroristes : Inata, Baraboulé, Oursi,Koutougou etc.
Mais bien d’autres hypothèses existent encore. Les policiers reprocheraient à leur hiérarchie l’absence d’habiter à Djibo et à cela s’ajoute le fameux problème d’équipement. Il y’a aussi le problème des évacuations. Le Directeur Provincial de la police du Soum attend toujours son évacuation sans suite. Il avait été blessé lors d’une déflagration sur un corps piégé dans cette zone. Depuis lors, son évacuation n’a jamais pu avoir lieu.
La seule unité d’intervention polyvalente de la police qui était en position avancée à Tongomayel a quitté cette localité depuis longtemps faute d’équipement approprié. Mais selon nos informations une partie de ce matériels réclamés a été commandée et réceptionnée.
Ce n’est pas la première fois que des policiers quittent leur commissariat. On se rappelle encore du cas de Déou dans la région du sahel en février 2018 et Tongomayel en janvier 2019.
La Rédaction
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