La 9e édition des jeux de la Francophonie s’ouvre le 28 juillet 2023 en République Démocratique du Congo (RDC). Déjà, les Etalons cyclistes qui doivent participer à ce grand évènement ont pris le départ, le 25 juillet pour Kinshasa, la capitale du pays.
Par Nicolas Bazié
Les jeux de la Francophonie s’ouvrent le 28 juillet et se ferment le 6 août 2023. Pendant une semaine, Kinshasa la capitale de la République Démocratique du Congo (RDC) va vivre au rythme des compétitions sportives comme le cyclisme sur route, l’athlétisme, le basket-ball féminin ; le football masculin, le judo, la lutte africaine et lutte libre, le tennis de table.
De plus, il y a les concours culturels à savoir la danse, les marionnettes géantes, les arts visuels (peinture, photographie et sculpture), les contes et conteurs, la littérature, etc.
Parlant du cyclisme, l’épreuve des femmes se déroulera le samedi 29 juillet 2023 et celle des hommes, le dimanche 30 juillet. Six cyclistes dont Paul Daumont, Vincent Mouni, Mahamadi Ilboudo, Kanhayé Soulama, Saturnin Yaméogo, Soumaïla Ilboudo représentent le Burkina Faso à cette compétition. Ils sont accompagné de leur entraîneur Karim Yaméogo ainsi que le mécanicien Abdoul Zongo.
Il faut noter que les Jeux de la francophonie sont une compétition multi sports et un ensemble de concours culturels, en épreuves individuelles ou par équipes, organisée par le comité international des Jeux de la francophonie (CIJF).
Ces jeux francophones ont initiés lors du deuxième sommet de la Francophonie, en 1987, où les Chefs d’État et de gouvernements avaient décidé de leur création.
Deux ans plus tard, soit en 1989, les premiers Jeux de la Francophonie ont eu lieu à Casablanca et Rabat, au Maroc. 900 athlètes et 600 artistes de 39 délégations y participaient.
Depuis, plus de 20 000 jeunes artistes et sportifs ont participé aux huit éditions des Jeux de la Francophonie.
L’objectif de ce rendez-vous sportif de grande envergure vise à contribuer à la promotion de la paix et du développement à travers les rencontres et les échanges entre jeunes francophones, d’une part .
Et d’autre part, à permettre le rapprochement des États et gouvernements de la Francophonie et constitue un facteur de dynamisation de sa jeunesse en contribuant à la solidarité internationale, dans le respect de l’égalité entre les genres.
Il vise aussi à faire connaître l’originalité des cultures francophones dans toute leur diversité et développer les échanges artistiques entre les États et gouvernements.