Ceci est une réaction du Groupe EBOMAF concernant la falsification d’un article de presse le concernant.
C’est avec un grand étonnement que le Groupe EBOMAF a découvert sur les réseaux sociaux l’œuvre sordide et cynique d’un cyber-activiste qui a trafiqué l’article du journal L’Evénement, intitulé «Garantie souveraine : l’affaire florissante de EBOMAF» publié dans le numéro 492 du 25 avril 2023.
Contrairement au contenu initial du bimensuel, l’écrit accusateur et mensonger à dessein mentionne ceci : «Le patron du Groupe EBOMAF qui est le principal financier du coup d’Etat du capitaine Ibrahim Traoré contre Damiba discute pour être le futur président. Il envisage bientôt lancer son parti politique ! »
Le paradoxe est que le grand patron de EBOMAF collabore et discute lui-même avec les groupes terroristes dans les localités où ses activités sont florissantes !
Pour preuve, tous les convois sont attaqués sauf ceux de EBOMAF car il détient un « deal » avec les terroristes et le capitaine qui bénéficie de son soutien financier ! ».
En attendant que les responsables de L’Evènement montent au créneau pour dénoncer cette usurpation cybercriminelle, le Groupe EBOMAF s’insurge contre cette volonté manifeste de nuire via les réseaux sociaux.
Le cybercriminel, auteur d’une telle forfaiture, verse à la fois dans l’amalgame, la diffamation et le mensonge. Seuls des Burkinabè naïfs vont croire à de telles allégations.
D’autant qu’il est unanimement reconnu que l’action du PDG du Groupe EBOMAF pour aider son pays à vaincre l’hydre terroriste s’inscrit dans la continuité de l’État. Celle-ci ne saurait aucun cas répondre à un désir quelconque de soutenir un régime contre un autre.
Même si le gangstérisme numérique vit actuellement son printemps au Burkina Faso, l’auteur des allégations mensongères qu’il veut attribuer à L’Evènement doit se rendre à l’évidence que c’est face au cri de cœur des autorités et de ses compatriotes, Mahamadou Bonkoungou, a fait montre d’un patriotisme hors pair dès 2016 en mettant à la disposition de son pays son impressionnante assise financière et son carnet d’adresses.
Le MPSR1 et MPSR2 ont bénéficié de cette même dynamique de sa part sans qu’il n’apporte son soutien à l’un contre l’autre. Le PDG du Groupe EBOMAF n’a eu de cesse de répéter, à qui veut l’entendre, que son entrée dans l’arène ne lui taraude pas l’esprit.
Ainsi, soutenir que EBOMAF entretient des échanges avec les groupes terroristes afin d’obtenir le passage de ses convois, est une accusation mensongère très grave, fruit de la seule imagination de cet auteur cybercriminel.
Que l’opinion nationale et internationale retienne ceci une fois pour toute : » En dehors des travaux du contournement Nord-Sud de la ville de Ouagadougou qu’elle exécute actuellement, EBOMAF ne mène aucune activité dans les zones dites à fort défi sécuritaire sur le territoire national ».
En fait, de toutes les révélations des plus hautes autorités du pays, il apparaît que c’est le régime du président Roch Marc Christian Kaboré qui a initié et conduit un dialogue avec les terroristes afin d’obtenir une trêve pour l’organisation des élections couplées présidentielle/législatives.
Il est donc temps que chacun apprenne au Burkina Faso à établir une différence entre le soutien patriotique du PDG du Groupe EBOMAF à un pays en danger dont le seul souci est de sauver la mère patrie et une quelconque aide partisane de sa part à un régime, qui n’a jamais existé.
En tout état de cause, le Groupe EBOMAF se réserve le droit d’engager une action judiciaire contre le cyber-activiste afin de le démasquer et de l’amener à répondre de ses actes.
Il invite les plus hautes autorités à prendre les mesures idoines pour traquer et punir de tels individus dont les actes sont aussi nuisibles à la sécurité humaine, à la cohésion sociale et aux activités des entreprises que les assauts meurtriers et dévastateurs des terroristes.
Direction de l’information, de la communication, des relations publiques et des publications (DICRPP)/GROUPE EBOMAF.