C’est fini pour la campagne législatives du 22 novembre. Après 21 jours de course à la conquête des électeurs, les candidats doivent croiser les doigts et attendre les résultats du vote après le 22 novembre. Si certains sont préoccupés par la présidentielle d’autres s’intéressent plutôt aux législatives. Le Mouvement SENS qui participe pour la première fois aux élections législatives promet la rupture et la refondation si ses candidats sont élus.
Par La Rédaction
Me Guy Hervé Kam, le coordinateur national du Mouvement SENS a battu campagne à Bobo Dioulasso, dans la province du Houet. L’Avocat est tête de liste provinciale au Houet dont six sièges de députés sont à pourvoir. Au terme de cette campagne, il se réjoui de sa première expérience : »nous bouclerons trois semaines d’échanges, trois semaines de partage, trois semaines au cours desquelles, nous avons défini ensemble les grandes lignes pour un Burkina Faso démocratique et prospère avec vous, hommes et femmes dignes et patriotes », témoigne Me Kam.
Il croit au changement prôné par son Mouvement et souhaité par tant de burkinabè: « Ces trois semaines de campagne, nous ont montré que le changement est possible, qu’il est nécessaire et surtout qu’il est à portée de main », ajoute le candidat du SENS.
Le Coordinateur national du Mouvement SENS invite les burkinabè à participer au vote du 22 novembre afin de concrétiser le changement attendu: « Sortez donc massivement et votez les candidats du mouvement SENS pour faire de notre pays que nous aimons tant, un pays démocratique et prospère. C’est notre rêve, c’est un rêve que nous voulons réaliser avec vous et pour nous tous; pour nos enfants et pour les générations à venir », conclu t-il.